J’étais au courant du véritable vol d’érable, j’ai vu l’aperçu et j’ai pensé que ce serait un film amusant à regarder
Lorsque Ruth Landry, productrice de sirop d’érable, voit son gagne-pain attaqué par des concurrents avides qui étaient autrefois ses amis, elle élabore un plan pour se venger et secouer l’industrie. Le film est vaguement basé sur le vol de sirop d’érable d’une valeur de 18 millions de dollars dans un entrepôt du Québec en 2011-2012; cinq personnes ont été condamnées à la prison. Tout d’abord, je tiens à préciser que j’ai assisté à ce film avec des attentes modérées à modérées, donc je n’ai pas eu de déception majeure ni de véritable surprise.
C’est un élément fonctionnel de n’importe lequel des films des frères Coen
Et ce serait peut-être un film amusant si des gens qui ne comprennent pas Fargo étaient impliqués. Et je suppose que l’on pourrait aussi dire que tous les petits éléments qu’ils ont copiés d’autres films pourraient être des hommages et des coups de chapeau s’ils ne semblaient pas si maladroits et inappropriés dans leur singularité. Il y a une certaine suffisance dans l’écriture et la mise en scène qui est honnêtement imméritée.
Le travail de quelqu’un d’autre est sans cesse réécrit
C’est fini, le jeu du téléphone, et la phrase est presque méconnaissable. Le seul véritable attrait de la série qui m’a fait regarder jusqu’à la fin était le casting. Ils se donnent à 100 %, même si les personnages sont tous les mêmes archétypes que ces acteurs incarnent toujours ces jours-ci.
Épicés, chaleureux, durs à cuire, bizarres et durs à cuire
Certains personnages ne semblent tout simplement pas pouvoir échapper au type de personnages qui les perpétuent. J’aimerais qu’ils aient plus de portée, même s’ils sont vraiment excellents dans ce dans quoi ils sont constamment piégés. « Cent ans de solitude » est l’une des plus grandes premières télévisées et en streaming de ce mois.