L’IAPH Notre-Dame des Douleurs, de la Puebla de Cazalla, sera sera restaurée pour le culte vendredi prochain, le 7 juillet. C’est la date fixée par la corporation locale pour le retour de cette image sur son autel, après le léger accident qu’elle a subi dans l’après-midi du Vendredi saint. Le L’ISA a achevé la restauration, en particulier celle des mains de la Vierge, qui ont été déposées il y a quelques semaines dans ce centre pour inspection et supervision.
Par le biais d’un communiqué, la corporation a indiqué, « pour la tranquillité d’esprit de nos Frères et Dévots de notre Sacré Titulaire que les tâches de nettoyage ont été effectuées comme prévu, qu’aucun dommage notable n’a été observé dans les études radiologiques réalisées ».. Vendredi saint dernier, lors de la procession pénitentielle, un cierge du chandelier s’est détaché. de son chandelier et tomba directement dans les mains de la Vierge douloureuse, qui heureusement était indemne et indemne.
L’image de Nuestra Señora de los Dolores a a fait l’objet de plusieurs restaurations. La première restauration répertoriée a été effectuée en 1974 par le sculpteur Manuel Escamilla, qui a consisté à « (…) coller la fissure sur le côté droit du manche (…) et il a mis un faux archet dessus parce qu’il le trouvait plus confortable (…) ».
La deuxième restauration a eu lieu entre 1988 et 1989 et a été effectuée par le Prof.rancisco Arquillo Torres, qui a enlevé une série de clous métalliques à l’intérieur de la tête et les a remplacés par des chevilles en bois. Il a également procédé à la consolidation du support et des couches polychromes, à la fermeture du creux du torse, à la jonction des assemblages et au nettoyage des salissures du visage et des mains dues à la poussière, à la fumée des bougies et aux repeints. Enfin, il vernit l’image et applique une couche de vernis en poudre. En 2018, un nouveau système de bras articulés a été placé par le restaurateur M. Fernando Aguado, grâce au travail du menuisier M. Enrique Gonzálvez.
En 2019, l’image a subi un traitement à l’Institut andalou du patrimoine historique (IAPH), consistant en ce qui suit. élimination de la poussière superficielle, fixation des couches polychromes, élimination de la saleté, vernis et réintégration, en particulier de la restauration précédente par Francisco Arquillo et réintégration de la polychromie.