sam. Déc 21st, 2024


Vendredi dernier, dans la paroisse de La O, le 770ème numéro du Bulletin des Confréries de Séville. À notre époque d’informations instantanées que l’on peut jeter dans les égouts d’Internet, c’est presque un miracle qu’une publication mensuelle (y compris le torride mois d’août), sur un sujet aussi spécifique et pour un lieu aussi spécifique, soit encore en vie après 64 années ininterrompues dans son rendez-vous avec les points de vente habituels. Des nouvelles des confréries, des articles d’opinion, des éditoriaux officiels, des interviews, une sélection graphique très soignée et de nombreux articles de recherche historico-artistique ont fait de cette revue une référence incontournable du genre non seulement au niveau local mais aussi au niveau national, comme en témoigne le grand nombre d’abonnés qui vivent au-delà du Patrocinio, du pont de l’Alamillo, du parc de l’Alcosa ou de Bellavista. Et les Pyrénées.

Depuis des confrères mythiques comme Juan Marín Vizacaíno, Antonio Hermosilla Molina, Juan Carrero, Luis Joaquín Pedregal, Juan Delgado Alba, Guillermo Bonilla, Antonio Soto Cartaya ou Juan Martínez Alcalde jusqu’aux actuels Rafael Jiménez Sampedro et Rafael Alcázar Otero, en passant par José María Lobo, Antonio Silva de Pablos, José María Fuertes ou Jesús Martín Cartaya lui-même, le rédacteur graphique du Boletín pendant des dizaines d’années.



(Déjeuner des collaborateurs à la Casa Manolo de Triana à l’occasion du 30e anniversaire du Bulletin, alors qu’il était président du conseil d’administration). Luis Rodríguez-Caso. Novembre 1989)

By Nermond

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