Un quartier de potiers, marial et nazaréen où ses confréries ont un cachet spécial et où même leurs chars marchent de manière personnelle qui, dans des temps très lointains, faisaient une procession pénitentielle dans la cathédrale de Santa Ana.
C’est Triana dans n’importe laquelle de ses rues ou dans n’importe quel temple, deux images saintes, la Virgen de la Estrella rend visite à sa voisine de la Calle Pureza, La Esperanza, sur le chemin de croix pendant le Carême.
Pour cette raison et pour ces choses, et sans aucun doute, Triana est Triana.