ven. Déc 27th, 2024

Cette fois, ce ne sont pas des sifflets d’arbitre mais des douleurs qui réduisent la liste desUrania Milanqui au Palalido (présent au premier rang) entraîneur Dan Peterson avec sa femme Laura) se rend honorablement à Treviglio pour 72-84.

Avec Montano e Pullazi forcés de garder leur salopette, de coach Villa il ne reste plus qu’à ouvrir à nouveau les rotations aux jeunes (17′ pour les jeunes). Cavallero14′ pour Valsecchi, 2′ pour Pezzolaavec Marra sortie pour cause de fièvre) et jeter sur le parquet un une dose massive de défense de zone qui paie un lourd tribut au talent de Clark e Marini (26 chacun, avec 6/8 au-delà de l’arc pour l’Américain), mais qu’en réalité a également gardé les Wildcats dans le jeu pendant longtemps..

Après avoir mené à la mi-temps (36-35), lesUrania a même atteint +6 dans le troisième quart-temps grâce notamment aux jeux de Potts (20, bien qu’avec 7/15 du terrain) et de Amato (17, plus 6 passes), avant d’aller à la rencontre de à un black-out offensif pour 0/10 (51-47 à 51-57) en confiant effectivement l’inertie du match au groupe Masciopresque immédiatement contraint de se passer Brian Sacchetti pour une blessure à son petit doigt.

Avec Ebeling et Colline à deux chiffres (11 et 13 points respectivement) et avec un Piunti singulièrement plus efficace au-delà de l’arc (9, avec 2/4 sur les triples), mais tous trois dépassés en couleur par les longs attaquants de Treviglio (49 rebonds contre 28 pour les invitésavec 10 des Lombardi), Urania a néanmoins gagné l’honneur des armes et après la victoire sur Agrigento confirme qu’elle a peu de rivaux dans lel’art de se débrouillerou de la jouer avec ceux qui sont là donnant du fil à retordre même à des adversaires aux ambitions et aux effectifs bien plus élevés (10 seniors dans celui de Treviglioavec coach Finelli qui, à la fin du match, a remercié les propriétaires pour la troisième « taxe de luxe » payée cette saison).

A la fin du match coach Villa déclare que la zone répétée de force pendant la semaine et abondamment utilisée en 40′ l’a ramené à ses années de jeunesse : un retour dans le passé que l’entraîneur du Chats sauvages espère cependant qu’il ne s’agira pas aussi d’un retour vers le futur, dans le sens de pouvoir compter à nouveau sur tous ses acteurs les plus expérimentés le plus rapidement possible afin d’éviter un nouveau recours à des solutions aussi extrêmes.

En attendant que les thérapies fassent effet (la guérison de Montano semblant plus complexe que celle de Pullazi), Urania peaufine en tout cas une arme supplémentaire lorsque la course aux séries éliminatoires rend chaque match encore plus difficile et donc plus propice aux situations de faute compliquées : avoir ces gars au bout du banc prêts à sauter. avec plus de confiance dans leurs propres moyens et donc moins d’incertitude. Alors que l’entraîneur Villa répond à une question précise en déclarant qu’il n’a pas l’intention de les utiliser :  » Ils s’entraînent avec nous depuis des années et, en cas de besoin, je n’ai vraiment aucun scrupule à les mettre sur le terrain « . Un « pouvoir et vouloir » définitif qui, à notre avis, pourrait également s’avérer décisif à l’avenir. (Paolo Corio)

By Nermond

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