sam. Déc 21st, 2024

Le délégué à la gouvernance et aux grandes festivités de la mairie de Séville, Juan Carlos Cabreraa visité ce mercredi le atelier de palmiers frisés qui se déroule pendant cette semaine dans la chapelle de l’Institut de l’Europe. Divina Pastoradans la rue Amparo.

M. Cabrera, qui est également délégué du Casco Antiguo, a eu une connaissance directe de ce travail artisanal, qui est dirigé par le frère aîné de la corporation pastorale, Andrés Martínet sa femme, Rosa GonzalezLes conseillers socialistes, qui donnent ces cours depuis près de deux décennies, les organisent soit à la demande des confréries, soit à celle des districts, comme dans ce cas. Concrètement, le Casco Antiguo a organisé quatre cours, qui se sont terminés ce mercredi, raison pour laquelle le conseiller socialiste s’est rendu à l’église de la Calle Amparo.



Ce couple a appris à friser la paume après un séjour à Elche, d’où provient la matière première. Chaque année, ils enseignent de nouvelles façons de décorer les palmes, qui seront bénies le matin du dimanche des Rameaux afin qu’elles puissent être suspendues toute l’année sur le balcon.

Du balcon aux cendres

Le cycle de la palme, en effet, est sur le point de s’achever. Selon la tradition, il doit être retiré à l’arrivée de l’Immaculée Conception et ses restes sont brûlés dans les feux de joie allumés le 2 février, à l’occasion de la fête de la Chandeleur. Ses cendres – ainsi que celles des branches d’olivier – sont utilisées lors de la messe du mercredi qui débute le Carême.

Juan Carlos Cabrera, frère de la Divina Pastora, a été agréablement surpris par l’artisanat qui est maintenu et enseigné dans l’église de la Calle Amparo. Des heures de soins et d’attention qui, en moins de trois mois, porteront leurs fruits sur les balcons.

By Nermond

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