Un grand succès. Le président du Conseil des confréries, Francisco Vélez, s’est félicité ce jeudi de la décision du ministère des Finances de ne pas faire appel de la décision du Conseil des confréries. ; le dernier arrêt du Tribunal administratif économique central (TEAC), qui a déclaré que les abonnements aux sièges et aux loges pour la Semaine Sainte sont exonérés de TVA. Vélez répond ainsi à la ; information publiée en exclusivité ce jeudi par le Diario de Sevilla .
« Je suis ravi. C’est une magnifique nouvelle pour moi et pour les habitants de Séville. Nous avons défendu bec et ongles les intérêts des abonnés de la carrera oficial », a déclaré le président Vélez. Pour l’instant, le Conseil n’a pas reçu de notification ou de communication du Trésor communiquant le retrait d’un nouvel appel. Quoi qu’il en soit, M. Vélez a expliqué qu’une fois les jours fériés passés, il contactera les responsables du Trésor de Séville pour organiser une réunion et discuter de la manière de procéder à partir de maintenant.
Bien que la décision du Trésor soit ferme, le Conseil d’administration reste attaché au critère de prudence et appliquera une TVA de 21% lors de la campagne des abonnés qui débutera le 1er janvier. En outre, les lettres de paiement ont déjà été envoyées au domicile des abonnés. L’option envisagée est de rembourser automatiquement les 21% une fois que le Trésor aura notifié qu’il ne fera pas appel de la décision du TEAC.
En outre, le Conseil procédera à la demande des montants déclarés dans les années 2020 et 2022 pour la TVA de la course officielle. Celui de 2022, par exemple, s’élève à 690 000 euros. Cet argent, plus les intérêts de retard correspondants, ira directement dans les poches des abonnés une fois qu’il aura été restitué par l’État. Il est donc dans l’intérêt du Trésor de le rendre le plus rapidement possible afin de payer moins cher ce retard.
Le Conseil des Confréries a défendu avec efficacité et détermination les abonnés de la course officielle de la Semaine Sainte de Séville contre le Ministère des Finances. Et ce, en dépit du fait que l’exonération de la TVA ne profite ni à l’institution ni aux confréries elles-mêmes. Si le Conseil est obligé de percevoir cette taxe pour l’utilisation des chaises et des boîtes, il peut également déduire la TVA payée pour le montage de celles-ci, comme cela s’est produit ces dernières années. Malgré cela, le président, Francisco Vélez, a défendu cette cause dès le début et a toujours été satisfait des jugements qui lui ont donné raison.
Maintenant, l’institution devra restituer les montants déduits. C’est l’une des questions que Vélez souhaite aborder avec les autorités fiscales. « Maintenant, nous allons devoir calculer le montant à rembourser. Nous l’avions plus ou moins prévu, mais nous ne pensions pas que l’affaire serait résolue aussi rapidement », a conclu M. Vélez.